le 7
août 2017
Note aux lecteurs : étant donné que je suis en vacances,
cette lettre a été écrite à l’avance.
L’élection de Donald Trump à la Présidence des Etats-Unis
était une étape majeure vers la défaite de la Mafia khazar mondiale. Cependant,
la présidence de Trump ne représente jamais qu’une tentative de réformer l’ancien
système plutôt qu’une véritable révolution. Trump a maintenu la Société des
Etats-Unis d’Amérique à flot principalement en extorquant de l’argent à
l’Arabie Saoudite, au Qatar et aux autres monarchies pétrolières du
Moyen-Orient, en plus des fonds spoliés au Japon et à la Corée du Sud. Les
Chinois jouent aussi leur rôle pour préserver l’ancien régime parce que leur
grand surplus commercial structurel avec les Etats-Unis leur rapporte
énormément de dollars qu’ils utilisent pour s’acheter des amis et influencer
des gens dans le monde entier. Les Rothschild et autres lignées familiales qui
ont dirigé la planète ont réussi à coopter les Chinois par des pots-de-vin et
de la flatterie. L’initiative Chinoise « une ceinture une
route ferrée » de mille milliards de $ est la récompense de leur
contribution à maintenir l’ancien système à flot.
Les accords de
Paris soutenus par 19 pays sur 20 lors du G20, pour leur part, étaient une
tentative de laisser perdurer le FMI, la Banque Mondiale, les Nations Unies et
autres institutions internationales, en accordant aux Chinois plus de droits de
vote aux dépens des Etats-Unis, même s’ils gardaient ces institutions sous leur
contrôle. Le problème, c’est que cette réforme est basée sur une escroquerie
notamment que le carbone serait à l’origine du réchauffement climatique
mondial. Les faits prouvent que ce n’est pas vrai.
Cela maintient également fermement les anciennes familles
au pouvoir. Rappelez-vous, les habitants de la planète Terre n’ont pas choisi
le dirigeant de l’Organisation des Nations Unies, du FMI, de la Banque
Mondiale, de la BRI, etc. Tout cela a été réalisé derrière leurs dos, par les
familles régnantes.
Bien sûr, les factions soutenant l’accord de Paris
représentent le groupe modéré, non-génocidaire au sein de la hiérarchie au
pouvoir des lignées familiales, y compris des familles royales Européennes.
Elles ont été capables de trouver un accord avec l’aide des familles
Asiatiques. Dans l’ensemble, elles sont bien intentionnées mais elles ne sont
tout simplement pas compétentes pour gérer l’effondrement systémique du système
économique en cours.
L’actuelle classe dirigeante occidentale dirige la plus
grande extinction d’espèces vivantes depuis que les dinosaures ont été balayés
par une météorite il y a 65 millions d’années. Les peuples d’Europe et d’Asie
orientale, les plus productifs sur Terre, sont victimes d’un effondrement
démographique. Les disparités de revenus en Occident sont désormais plus
importantes que celles qui ont abouti à l’effondrement de l’empire Romain.
Pour couronner le tout, les criminels à l’origine du 11
septembre, de la destruction de pays comme l’Irak, la Libye et la Syrie, de
Fukushima (Japon), de la prolifération d’armes biologiques comme les virus SRAS,
Ebola, le SIDA, etc., doivent toujours être arrêtés ou punis.
En outre, nous ne voyons toujours pas venir de jubilé ou
l’effacement définitif des dettes. Nous n’assistons pas non plus à une
redistribution des actifs acquis par l’escroquerie. C’est particulièrement
évident dans l’affaire du choc de Lehman Brothers, où les preuves matérielles
démontrent que les lignées familiales ont créé 23 000 milliards de $ par
l’escroquerie et ont utilisé l’argent pour acheter des actifs dans le monde
entier qui ont été transformés en véritables aubaines, grâce à l’effondrement
financier qu’elles avaient organisé. Pourquoi cet argent n’a-t-il pas été
saisi ?
Depuis la crise de Lehman Brothers, les banques centrales
ont pratiqué de soi-disant assouplissements quantitatifs monétaires. Cependant,
les énormes montants créés suite à cette politique sont dirigés uniquement vers
des fonds spéculatifs contrôlés par les patrons de la Mafia khazar. Ils n’ont
rien fait pour verser de l’argent directement sur les comptes en banque
personnels des gens ordinaires. C’est pourquoi l’assouplissement quantitatif a
eu comme conséquence d’accroître encore plus la disparité des richesses. Les
analyses montrent que la plupart des fonds a afflué vers environ 700 personnes,
c’est à dire non pas les 1%, mais plutôt les 0,00001% qui ont bénéficié de la
planche à billets.
C’est en fait parce que les lignées familiales contrôlent
toujours les banques centrales privées pour leur intérêt personnel, non pour
celui de la planète et des êtres vivants qui l’habitent. Donald Trump, qui a
été placé au pouvoir par les Illuminati gnostiques opposés aux lignées
familiales, n’y a rien changé parce qu’en tant que président du pays le plus
endetté de l’histoire mondiale, il n’a pas le pouvoir de le faire.
Pourtant, il le fait. Rappelez-vous l’adage :
« si vous devez 10 000 $ à la banque, c’est votre problème, mais si
vous devez 1 million de $ à la banque, c’est le problème de la banque ».
C’est un fait que le gouvernement privé des Etats-Unis a failli à ses engagements
le 3 mai de cette année lorsque sa filiale à 100% de Porto Rico a été mise en
cessation de paiement. Et pourtant le show de Washington DC continue toujours.
C’est parce que comme je l’ai mentionné auparavant, les
créanciers de la société des Etats-Unis tels que les Chinois, les Japonais, les
Sud-Coréens et les compagnies pétrolières du Moyen-Orient subventionnent des
pertes annuelles de 700 milliards de $ (le montant du déficit commercial
américain en 2016).
Donc, comment remédier à cette situation ? La
première occasion se produira à la date limite de l’échéance fiscale du 30
septembre pour la Société des Etats-Unis. Chaque année à cette date, lorsque la
date d’échéance approche, nous assistons à toutes sortes de manœuvres. Cela ne
sera pas différent cette année, et le gouvernement privé des Etats-Unis
essaiera de décaler ses règlements au-delà de l’échéance. Cela signifiera
toutes sortes de menaces de guerre, de chantage, d’extorsion, de la mendicité,
de l’esbroufe, etc. Dans les informations, cela se traduira par des menaces de
guerre avec la Russie, la Chine, la Corée du Nord, l’Iran et tous ceux qui ne
casquent pas d’argent pour être protégés. Si ces tentatives fonctionnent, alors
les évènements vont continuer leur petit bonhomme de chemin. Cela signifiera la
poursuite de la longue dégradation du niveau de vie de l’Occident qui a
commencé à la fin des années 1960.
L’alternative est une révolution mondiale. Cela signifie
occuper physiquement la BRI (Banque des Règlements Internationaux), la Banque
Centrale Européenne, la Banque de la Réserve Fédérale, la Banque du Japon et
d’autres banques centrales des lignées familiales.
Cela permettrait théoriquement d’émettre des milliers de
milliards de dollars utilisables pour financer une campagne sans précédent pour
mettre fin à la pauvreté, à la destruction de l’environnement et permettre
l’expansion de l’humanité dans l’univers. Bien sûr, les familles actionnaires
des banques centrales ont passé des années à condamner de telles idées avec des
phrases codées comme « monétiser la dette », en affirmant que cela
mènerait à l’inflation et à des dépenses gouvernementales irresponsables. Cela
a pu être vrai à une certaine époque lorsque des rois dépravés ou des gouvernements
corrompus se sont essayés à ce genre de pratiques.
Cependant, arrêtons-nous un moment pour réfléchir. Que
signifie « monétiser la dette » ? Cela signifie transformer de
la dette en argent frais. En d’autres termes, cela signifie mettre fin à
l’esclavage de la dette. Rappelez-vous que la dette due aux banquiers des
banques centrales n’est pas légitime. Les banquiers n’ont pas gagné l’argent
qu’ils ont prêté aux personnes et aux gouvernements concrètement en réalisant
des échanges concrets, ils se sont contentés de rentrer des chiffres dans des
ordinateurs. Donc, monétiser leur dette signifie tout simplement renoncer à
l’esclavage de la dette.
Bien sûr, si vous vous contentiez d’imprimer de grandes
quantités de billets, disons en déposant un million de dollars sur chaque
compte bancaire d’un pays, le résultat serait une orgie inflationniste suivie
d’une migraine carabinée.
Cependant, il y a des exemples de banques centrales
gouvernementales qui ont généré de gros bénéfices.
Entre 1938 et 1973, le Canada a utilisé sa banque
centrale propriété du gouvernement pour :
- Financer la Deuxième Guerre Mondiale
- Construire le système de canaux qui relie les grands lacs
à l’Océan Atlantique.
- Construire l’autoroute TransCanada, la plus longue du
monde.
- Payer les investissements de l’enseignement
- Payer les frais de l’assurance-maladie
- Financer les travaux publics
- Financer l’armée
-
Etc.
Tout cela a été accompli sans impôts, ni dettes.
Le gouvernement militaire Japonais d’avant et de la
Deuxième Guerre Mondiale a également financé son gigantesque effort de guerre
en utilisant le fonds créé par la banque centrale nationalisée. Bien que je
n’approuve en rien les actes du régime militaire Japonais en Chine et ailleurs,
le point que je veux mettre en évidence, c’est qu’une énorme entreprise comme
la conquête de l’Asie a été principalement financée par une banque centrale
propriété du gouvernement.
Si le Conseil d’administration de la Réserve Fédérale, la
Banque Centrale Européenne et la Banque du Japon étaient nationalisés, il
serait possible de financer une campagne d’un millier de milliards de dollars
pour mettre fin à la pauvreté, à la destruction de l’environnement, financer la
recherche sur l’immortalité, explorer l’univers, etc. C’est parfaitement réaliste
et réalisable.
Cet automne sera notre prochaine occasion, pour que cela
soit possible. Le temps des discours est terminé, il est temps de passer à
l’action.
© Benjamin Fulford – Traduction Française Patrick T rev
Isabelle